Mary-Elizabeth Dill
- Ville:
Toronto
- tél:
416-979-6404
- téléc.:
416-591-7333
- Courriel:
Biographie
Mary-Elizabeth Dill protège et fait valoir les droits des travailleurs autant avec passion qu’avec adresse. Que ce soit dans le cadre d’une négociation collective ou d’un litige, elle aide les syndicats et les associations de professeurs à obtenir les droits et les protections qu’ils méritent et que leurs membres méritent.
Mary-Elizabeth est particulièrement fière d’avoir aidé des organisations syndicales à combattre la discrimination en milieu de travail et à défendre des employés ayant subi des mesures disciplinaires injustes après s’être prononcés contre des conditions de travail dangereuses. Peu importe le différend, Mary-Elizabeth met à contribution ses techniques de plaidoirie raffinées et son éthique rigoureuse du travail dans chaque dossier.
Toujours prête pour un bon débat, Mary-Elizabeth aime élaborer un argument et le présenter avec rigueur et précision. Ses talents de plaidante ont été reconnus à la faculté de droit de l’Université Dalhousie où elle a gagné le grand concours de procès fictif au cours de sa troisième année d’études. Elle a également remporté des prix pour ses présentations orale et écrite dans le cadre du concours Laskin annuel de plaidoirie.
Ceux et celles qui connaissent Mary-Elizabeth savent à quel point la justice sociale lui tient à cœur. Sa recherche d’études supérieures sur les travailleurs domestiques migrants a éveillé son intérêt pour les droits en milieu de travail, particulièrement pour les secteurs les plus précaires de la main-d’œuvre. Cherchant sans cesse à contribuer à améliorer l’accès à la justice, elle a travaillé un été dans une clinique d’aide juridique à Iqaluit où elle aidait les clients autochtones à manier le système juridique. Tout au long de ses études en droit, elle faisait du bénévolat chaque semaine dans un centre d’immigration et, sa dernière année, publiait un blogue sur des questions de justice sociale et de libertés civiles pour l’Association canadienne des libertés civiles.
Mary-Elizabeth a occupé un emploi d’été et a fait son stage chez Goldblatt Partners. Elle y est revenue pour poursuivre sa carrière après avoir terminé un stage de greffière à la Cour d’appel de l’Ontario.
Durant ses moments de loisirs, Mary-Elizabeth parcourt les parcs de la ville en vélo, écoute la radio publique et est toujours à la recherche de la meilleure crémerie dans les environs